Le leader de Place publique Raphaël Glucksmann a affirmé vendredi sur RTL que «personne ne me débranchera». L'eurodéputé réagit ainsi à un titre que l'hebdomadaire Marianne a publié jeudi et qui questionne sa viabilité politique. Une intervention télévisée fin novembre sur LCI a déçu et alimenté les spéculations médiatiques. Lors de cette émission, il avait échangé avec un panel de citoyens français après plusieurs mois de discrétion médiatique.
«Personne ne me débranchera de la lutte que j'ai lancée, une lutte qui vise à éviter que la France bascule dans le camp d'Orban, de Poutine, de Trump, en élisant un président du Rassemblement national, une lutte contre l'extręme droite», a déclaré Glucksmann sur RTL. Il avait déjà répondu la veille sur Facebook à Marianne, qui titrait «faut-il débrancher Raphaël Glucksmann?», en écartant ce que disent certains en off ou les considérations tactiques.
Vision pour 2027
L'eurodéputé a défendu sa quęte d'«[...] une France qui renoue avec sa grandeur, qui renoue avec son esprit de liberté et de conquęte, qui fait face à ses responsabilités historiques et qui retrouve un destin». Il souhaite que «la social-démocratie et l'écologie soient la digue qui empęche la bascule» vers l'extręme droite.
Glucksmann a regretté que «beaucoup» d'adversaires, y compris au sein de sa propre famille politique, «passent leur temps à taper» sur lui, affirmant qu'il «ne se trompait pas de cible».
Sans avoir officiellement déclaré sa candidature à la présidentielle de 2027, il a souligné l'importance de ce scrutin : «On ne sait pas encore qui sera candidat à la présidentielle mais ce qui est certain, c'est que nous n'avons pas le droit de rater le rendez-vous.»
Note : L'Intelligence Artificielle (IA) a créé cet article.

11 godzin temu



